Compte-rendu de la réunion du 15 décembre 2007

Résumé de la réunion parents, principale et principale adjointe du Collège Elsa Triolet

Quelques chiffres : environ 520 élèves bien répartis dans des classes de différents niveaux).

Les classes elles-mêmes sont plutôt hétérogènes, selon les « directives ».

Il y a des classes spécialisées :

UPI (Unités Pédagogiques d’Intégration) et  SEGPA (Section d’Enseignement Général et Professionnel Adapté)

Les 6^e ont une cour particulière, des casiers, et ne sont donc pas mélangés aux autres niveaux pendant les récréations.

Au début, parfois c’est un peu dur pour certains pendant 2 ou 3 jours,  mais tout rentre dans l’ordre et ils s’habituent vite au rythme du collège.

Le choix des professeurs principaux en 6^e privilégie les qualités humaines et d’écoute, c’est d’ailleurs ce qui se ressent de la politique générale du collège.

Il y a une aide aux devoirs le soir pour ceux qui le souhaitent mais malheureusement pas de places pour tout le monde.

Il y a une vingtaine de « places » possibles pour suivre 2 langues à partir de la 6^e (4 heures d’anglais et 4 heures d’allemand) et ces élèves sont répartis sur 2 classes de 6^e, une dizaine par classe.

S’il y a 25 heures de cours pour les 6^e il y a donc 29 heures de cours pour ces élèves « bi-langues » et aussi forcément plus de devoirs.

Il faut donc être motivé puisqu’il y a déjà certainement beaucoup plus de devoirs qu’en CM2, le rythme ‘normal’ ne devrait pas dépasser une heure par jour et pas plus de deux heures le week-end environ.

Le discours est rassurant quant aux éventuelles rumeurs qui courent toujours sur cet établissement car cela fait quelques années qu’un bon travail est fait et que l’équipe travaille ensemble et avec les parents pour favoriser la réussite scolaire mais aussi l’ambiance générale, la communication etc.…

Interrogée sur les points négatifs madame la principale dit que le collège manque d’espace et que l’on piétine parfois dans les couloirs, il peut y avoir de l’électricité dans l’air pour cette raison bien que, selon les parents présents les enfants n’ont pas l’air d’en souffrir (peut-être plutôt les adultes ?)…

Les élèves qui traînent devant le collège ont parait-il besoin de prolonger la vie au collège en s’appropriant la rue, tous n’ont pas la chance d’avoir un lieu calme et des parents qui les aident pour leurs devoirs….

Il y a plusieurs ateliers organisés sur la pause déjeuner et après les cours : théâtre, sciences, sport etc…

Ces ateliers ne sont pas financés par la mairie de Paris comme ceux de l’école élémentaire et s’ils existent c’est grâce à la volonté de l’équipe enseignante, des parents, et d’associations extérieures par exemple.